Aller je vous aident, j'aime beaucoup depuis très longtemps cet artiste mort que comme chacun qui aime une ou une personnalité a envie de partager : ici qqs paroles des ses chansons : Par colonnes ils se sont marchés sur les talons.
C'est toute l'Europe qui résonne de leur musique quand bientôt leurs excréments claudiquent entre leurs doigts de pieds.
Sur un chemin de purin, des kilomètres de fange se voient naître.
Abandonnées par les anges et surtout par leurs maîtres. Elles resteront là pour guider l'histoire des voix sans voies, dures et bien sèches, des étrons magnifiques polis par les pas de millions de pèlerins qui sont devenus les bases du monde d'hier.
Aujourd'hui est naît demain. C'est la tunique des ensanglantés, des ensanglanteurs du monde entier.
Plus rien de s'est vécu, ils ne virent même plus leurs culs.
Les enfants païens deviennent des gens comme moi, des hommes en guerre, des armes plein les bras, en guerre contre Dieu qui n'a jamais cru en eux.
Chaque homme est un enfant violé qui aura laissé là pour toujours son petit tas d'amour.
Les enfants païens c'est comme la pluie.
Ça coule sur toi puis ça s'en va, ça laisse juste des trainées blanches sur la crasse de ta peau.
Comme des ravins blancs, si tu creuses... bin c'est rouge...
et une autre :
Toutes ces chansons commencent sur un trottoir.
A ne pas vouloir y croire quand t'as tout dit tout entendu et qu'tu l'as dans l'cul.
Les mains dans les poches tu lèves la tête. Y'a tout qui cloche. Tu serres le point mais l'autre est déjà loin.
Tu m'as vu hurler, tu m'as vu me battre.
Tu m'as vu défriché, déchiré, construire pour tout détruire.
Tu m'as vu m'abattre pour relever.
Tu m'as vu me débattre pour pas m'effacer.
Tu m'as vu dans mon trou dans ma guerre.
Tu as vu ce sang partout. Sous les coutures tu as vu toutes les blessures, le k.o d'une nature, la crasse et les ordures.
Mais oui madame, je monte sur scène depuis 2000 ans.
J'y crache des balles, j'y crache des mots comme un trou de balle de tout mon égaux.
Je n'ai que des armes au bout de mes peines que des crimes dans ma rengaine.
Je voudrai bien vivre quelque chose de beau mais j'ai comme un couteau planté dans l'dos.
Mais oui chère âme ma main n'est pas la mienne, quand elle court sur ta peau c'est celle d'un troupeau de hyènes qui n'ont que la peau sur les os.
Tu m'as vu rire, tu m'as vu ne pas mourir, piétiner l'adversité.
Tu m'as vu ne jamais m'arrêter.
Tu m'as m'écarteler, jongler, mentir la vérité.
Tu m'as vu dans ma peinture sans culture.
Tu m'as vu danser sur ma sépulture.
Tu m'as vu dans ma peine dans mon frein. Tu m'as vu sans gêne et sans peur de rien.
Tu as mes forces me quitter, tu les a vu revenir sans pitié.
Mais rien ne s'efface alors madame se lasse.
Elle pèse le poids de ses cadeaux.
Alors que toi tes mains dégueulasses ne contiennent que des fardeaux.
Et enfin ce qui lui plaisait l'agace et elle ferme le rideau.
Les murs se lèvent elle manque de place.
Tu n'as plus de couleur. D
ans le tableau il reste une femme mais suis-je un homme ? Me reste t-il assez de peau pour que les chiens ne rongent pas mes os.
Tu m'as vu hurler, tu m'as vu me battre.
Tu m'as vu défriché, déchiré, construire pour tout détruire.
Tu m'as vu m'abattre pour relever.
Tu m'as vu me débattre pour pas m'effacer.
Tu m'as vu dans mon trou dans ma guerre.
Tu as vu ce sang partout. Sous les coutures tu as vu toutes les blessures, le k.o d'une nature, la crasse et les ordures.
Tu m'as vu...tu m'as vu.
Tu m'as vu rire, ne pas mourir, piétiner l'adversité.
Tu m'as vu ne jamais m'arrêter.
Tu m'as m'écarteler, jongler, mentir la vérité.
Tu m'as vu dans ma peinture sans culture.
Tu m'as vu danser sur ma sépulture.
Tu m'as vu dans ma peine dans mon frein.
Tu m'as vu sans gêne et sans peur de rien.
Tu m'as vu...tu m'aveugle....tu m'as eu.
je donne pas l'auteur pour le moment, mais je pense vous trouverez assez facilement ...